Mais tous ceux-là savent parfaitement que les investisseurs privés ne financeront pas les six nouveaux réacteurs que nous entendons construire, pas plus qu'ils ne le font en Grande-Bretagne, en Corée du Sud ou ailleurs, parce que de tels programmes n'offrent qu'une rentabilité trop lente, qui justifie pleinement l'engagement de la puissance publique.