La deuxième raison est financière : chacun connaît la situation d'EDF, qui accuse 55 milliards d'euros de dette. Si nous ne voulons pas fragiliser la position de l'entreprise sur les marchés, nous devons engager ce processus de nationalisation.
Enfin, il faut accélérer le programme nucléaire. Certains ici ne croient pas à l'avenir de cette technologie.