. – Au sujet du partage de données et de la mutualisation, il y a effectivement des choses à faire. En commençant par la demande de l'État de partager toutes les données collectées au cours du développement jusqu'à la mise en service.
Il y a une dimension de savoir-faire importante. Dans le cadre de la future implantation de Provence Grand Large, nous sommes en train d'installer une caméra pour compter les oiseaux, savoir comment vole telle espèce et où elle va, avec des outils qui sont en constante évolution et avec un peu d'intelligence artificielle. Sur le parc de Fécamp, des drones ont été équipés pour compter les oiseaux sur la falaise et caractériser un état initial. Nous répéterons cela tous les ans.
Certaines entités comme France Énergies Marines ont effectivement une vocation collaborative, loin de la compétition qu'on peut se livrer par ailleurs entre développeurs. La rationalisation des débats est dans notre intérêt commun. Il y a quelques jours est ainsi paru un article très positif, indiquant que les oiseaux de mer semblent s'accommoder assez bien des parcs éoliens.