Je pense que si l'État parvient à fiscaliser Uber, qui a deux fois notre part de marché à Paris, un budget sera créé pour mettre en place davantage de moyens de contrôle. Dans un avis de 2014 ou 2015, l'Autorité de la concurrence rappelait qu'il y avait un problème de police ; la réputation de notre beau pays est entachée par les VTC illégaux qui essayent d'attraper les clients à la sortie des gares et des aéroports. En fiscalisant Uber, on pourrait passer de 100 à 150 Boers, ce qui éliminera des zones de frictions entre taxis et VTC.