L'objectif du tarif minimum mis en place consiste à fixer un minimum, quel que soit le contexte économique, et à faire en sorte que plus aucune des plateformes ne puisse pratiquer un tarif inférieur à ce tarif minimum. Au préalable, certaines plateformes étaient en dessous de ce tarif et d'autres au-dessus. Free Now était par exemple légèrement au-dessus de ce tarif minimum. Les plateformes et les organisations syndicales ont décidé d'aller plus loin et de poursuivre les discussions en matière de revenu. Il s'agit là du premier enjeu du dialogue social, qui permet d'améliorer la condition des chauffeurs.
Ensuite, nous pensons que les débats devraient effectivement être plus équilibrés au sein de l'Arpe. La FFTPR a d'ailleurs relayé cet argument à plusieurs reprises mais aujourd'hui, notre priorité porte sur les résultats concrets que nous pouvons apporter aux chauffeurs. Nous espérons que lors du prochain cycle de négociation qui débutera en septembre, des changements pourront intervenir en ce sens.