Si vous lisez bien le rapport de la Défenseure des droits, avec laquelle je travaille régulièrement, vous verrez que les signalements ont explosé parce que nous avons agi : le fait d'en parler et d'apporter des solutions permet de libérer la parole, ce qui est le début du traitement de ces situations. Celles-ci sont multidimensionnelles, vous l'avez dit. Je ne suis pas stupide, je sais qu'il ne suffit pas de s'en tenir aux symptômes, mais qu'il faut s'attaquer aux causes, qui sont profondes et multidimensionnelles. C'est ce que j'essaie de faire en menant une politique au service de la transformation du secteur médico-social.