Il vise à rétablir l'essentiel des dispositions initiales de la proposition de loi s'agissant des personnes ayant une impossibilité partielle ou totale de s'exprimer : celles-ci doivent être assistées ou représentées par la personne qui exerce à leur égard une mesure de protection juridique, ou par la personne de confiance identifiée dans le projet d'accompagnement personnalisé de l'établissement. En revanche, nous ne reprenons pas le terme de « proche », raison pour laquelle, d'ailleurs, ces mesures avaient été supprimées par la commission puisque la notion de « proche » pouvait poser des difficultés. Nous proposons donc un équilibre entre le texte initial et la position de la commission.