Préciser la loi et définir qui peut être considéré comme proche, que ce soit une association agréée, une association reconnue d'utilité publique, un notaire ou qui sais-je encore, c'est déjà reconnaître que ces personnes ne sont pas capables de définir elles-mêmes qui leur est proche ou non et tailler un cran, si je puis dire, dans ce droit inconditionnel. En faisant cela, nous ferions une mauvaise interprétation. Reconnaissons que ces personnes sont libres. Nous n'avons d'ailleurs pas non plus à leur demander si elles seraient d'accord pour recevoir telle ou telle visite. Il leur appartient de définir qui elles ont envie de voir, à quel moment et ce qu'elles ont envie de faire avec leur visiteur.