Mme la rapporteure dit avoir du mal à cerner ce qu'est un proche. Or nous savons bien qu'un proche peut éviter par sa présence à une personne âgée d'être exposée au syndrome du glissement et de se laisser mourir. Il est en notre pouvoir de décider dans cet hémicycle ce que nous mettons dans la loi. Je n'avais pas la chance d'être ici lors de la précédente législature mais je suis d'accord avec M. Boucard : apportons des précisions pour ne plus jamais nous retrouver dans les situations épouvantables que nous avons connues. Rappelons que des gens sont morts seuls chez eux et que les rites ancestraux de deuil ont été balayés d'un revers de main par votre funeste majorité !