Je remercie les différents collègues qui ont pris la parole sur cet article et sur cet amendement. Cependant, je suis un peu surprise. Vous semblez ne pas vous souvenir des échanges que nous avons eus en commission. Or ceux-ci ne datent que de la semaine dernière, ce qui n'est pas si lointain.
Nous avons longuement débattu de cet article ajouté au texte initial par un amendement de Cyrille Isaac-Sibille, soutenu par nombre de députés de la majorité. Il visait à apporter une pierre à l'édifice que constitue la société du bien vieillir, grâce à une mesure de soutien à la prévention.
Sur cet amendement, j'avais émis un avis de sagesse puisque nous avions considéré, d'une part, qu'il était important d'instaurer des activités de prévention au sein des établissements et, d'autre part, qu'il fallait donner à ces derniers les moyens nécessaires. Mais en dehors de M. Peytavie – qui est absent à l'heure où je vous parle –, je n'ai entendu personne expliquer, en commission, qu'il était défavorable à cette proposition.
Je suis donc extrêmement surprise. Ou bien il s'agit d'un problème cognitif ou de mémorisation,…