Tout d'abord, parce qu'elle permet de répondre aux problèmes soulevés par de nombreux rapports, à savoir le manque d'un cadre de référence pour promouvoir une politique nationale en matière de prévention de la perte d'autonomie. En ce domaine, de nombreuses recherches scientifiques sont en cours et il importe de les évaluer avant d'en assurer la déclinaison sur le territoire.
Cette proposition de loi n'enlève rien à la pertinence et au rôle précieux – j'en ai discuté directement avec les départements – des conférences des financeurs.