Madame Vidal, vous reconnaissez l'importance des sujets mais vous refusez que nous les traitions ici. Alors, où et quand pourrons-nous le faire ?
Vous décidez de ce dont nous avons le droit de discuter. Vous choisissez l'aide à la mobilité, question pertinente à nos yeux à laquelle nous tentons de rattacher toutes les autres préoccupations.
Votre texte n'est pas un gruyère, ce sont des trous avec un peu de fromage autour. Je ne doute pas de votre engagement, mais comprenez que nous ne pouvons pas nous satisfaire de vos seules propositions. En séance, nous nous tournerons vers le ministre pour lui demander un espace juridique dans lequel tous les sujets pourront être abordés. Si le ministre nous donnait un tel espace, la somme de bonnes volontés, d'intelligences et de connaissances dans le domaine nous assurerait de prendre les bonnes mesures. Certes, le financement resterait un problème, mais au moins, nous aurions un espace de débat.
Vous ne pouvez pas balayer d'un revers de la main les amendements. Leur adoption permettrait d'interpeller le ministre et d'ouvrir le débat.