Dans le débat assez fourni que nous avons eu hier sur l'article 1er et la conférence nationale de l'autonomie, j'ai évoqué la loi de 2005, qui visait à faire converger les situations des personnes âgées et des personnes handicapées, mais on m'a répondu que la situation des personnes handicapées était plus compliquée et ne pouvait pas être concernée par cet article. Or, avec ces trois articles qui pourraient à eux seuls constituer un texte consacré à cette question, nous changeons de champ : il ne s'agit plus de la perte d'autonomie telle qu'elle était présentée initialement dans l'exposé des motifs.