Nous sommes tous d'accord sur la nécessité d'une visibilité tant sur les dépenses à venir que sur les recettes possibles. Cependant, le vote de ces amendements en faveur d'une loi de programmation ne donnera aucune garantie : cela n'oblige personne à présenter une telle loi. Un engagement du ministre au banc sur la planification de l'utilisation des ressources aurait plus de valeur, d'autant qu'à compter du 1er janvier 2024, nous aurons 2,4 milliards d'euros par an supplémentaires.