De nombreuses associations et structures se plaignent de manquer d'informations. Les données privées sont protégées par la loi. C'est bien mais leur partage peut en être empêché. Des dérogations pourraient être admises pour protéger les personnes fragiles isolées, comme cela est autorisé dans le cadre de la protection de l'enfance, lorsque l'intérêt supérieur de l'enfant l'exige. Nous devons autoriser les élus, les associations et les professionnels de santé à communiquer entre eux car, bien souvent, les professionnels de santé ne transmettent leurs informations qu'à d'autres professionnels de santé.