J'irais même plus loin que vous : en gériatrie, nous ne parlons pas d'âge, ou plutôt nous parlons d'un âge physiologique plutôt que d'un âge chronologique. Nous aurions pu anticiper, il y a vingt ou trente ans, la transition démographique que nous vivons ; nous ne pouvons pas revenir en arrière.
Mais nous ne résoudrons pas aujourd'hui la question, très vaste et cruciale, que vous soulevez. Restons raisonnables et poursuivons l'examen de cette proposition de loi.