Vous avez raison de souligner les effets pervers du dispositif ; nous aurons les mêmes avec le panier négocié par le Gouvernement avec la grande distribution.
À ceux qui s'inquiètent du coût de ce texte, je signale que plusieurs grandes banques font en ce moment même l'objet d'une perquisition du parquet financier pour fraude fiscale. Pour financer les mesures luttant contre la précarité alimentaire, je propose donc que nous prenions le pognon là où il se trouve, c'est-à-dire chez ceux qui pratiquent la fraude fiscale !