Alors, puisque vous n'avez pas l'air d'avoir grand-chose à faire de ce tiers d'étudiants qui vit sous le seuil de pauvreté, de ces jeunes que vous avez ubérisés, des jeunes travailleurs précaires et des jeunes chômeurs, peut-être aurez-vous un peu plus de compassion pour le Président de la République. Et encore, avec 1 000 euros, il avait de la chance ! Beaucoup des jeunes étudiants précaires, des jeunes que vous avez ubérisés, des jeunes exploités à mi-temps n'ont pas la chance de vivre avec 1 000 euros.
C'est pour cela que nous proposons la garantie jeunes par laquelle l'État s'engagerait à compléter le revenu des jeunes afin qu'ils ne vivent pas sous le seuil de pauvreté.