Le jusqu'au-boutisme ne servirait à personne et enracinerait encore le clivage entre pro- et anti-chasse. Notre société et nos territoires ruraux en particulier n'ont pas besoin d'opposer les uns aux autres. Il faut plutôt instaurer des règles strictes en se donnant les moyens d'en contrôler l'application, tout en permettant, en arrière-plan, le dialogue propre à faire émerger des solutions partagées, et donc acceptées. Misons sur l'intelligence collective plutôt que sur les clivages.