Lorsque vos articles étaient signés sous de faux noms et que vous alliez jusqu'à créer de faux profils sur LinkedIn, c'était bien pour faire croire qu'il s'agissait de véritables articles, rédigés par de vrais journalistes. C'était une manipulation complète de l'information et même des médias qui accueillaient les articles, même s'ils ne sauraient être exonérés de leur propre responsabilité. Cela ne revient pas à simplement transmettre les arguments d'Uber : il s'agit d'une opération visant à faire croire à l'existence d'un vrai travail journalistique et à façonner l'opinion dans le sens que souhaite le client.