Nous n'avons pas participé à cette opération de perquisition. Le travail de mes équipes consistait principalement à se rendre dans les différents sites et à prélever des documents papiers. Nous n'avons recueilli aucun document provenant de messageries, puisqu'il faut pour cela des pouvoirs particuliers. Nous nous sommes concentrés sur l'analyse de contrats et de documents papiers afin de qualifier les pratiques commerciales trompeuses. Le « kill switch » ne nous a posé aucun problème puisqu'il rend uniquement indisponibles les messageries.