Avez-vous eu, durant cette période, des échanges – peut-être par mail – avec le cabinet de M. Macron, en particulier avec M. Lacresse, qui était, selon les révélations de M. Mark MacGann, la personne la plus impliquée dans l'établissement des relations avec Uber et ses dirigeants ?
Les Uber files évoquent une « perquisition », mais vous affirmez qu'il n'y en a pas eu. S'agirait-il d'une simple intervention sur place de la DGCCRF n'ayant pas le caractère d'une perquisition au sens juridique du terme ? Y a-t-il eu une confusion avec une perquisition par les services de police dans le cadre de l'action coordonnée que vous venez de décrire ?
Lors de cette « perquisition », les Uber files indiquent que l'entreprise a eu recours au logiciel Casper et au fameux « kill switch » qui lui a permis, en appuyant simplement sur un bouton, de fermer l'ensemble de ses serveurs et d'empêcher l'accès aux données. Pouvez-vous nous apporter quelques précisions ?