La deuxième voie possible est le statu quo, défendue par ceux qui pensent – avec ou sans support scientifique d'ailleurs – qu'il n'existe aucun danger pour la santé humaine ou que l'interdiction des additifs nitrés ferait courir un plus grand risque sanitaire, y compris par rapport à d'autres incidences ou à d'autres pathologies.
La troisième voie est celle que choisit le Gouvernement : agir avec méthode, en tirant toutes les conclusions de l'avis scientifique auquel vous avez fait référence, celui rendu le 12 juillet dernier par l'Anses.