La réintroduction de l'article 3 pose néanmoins un problème. Dans un contexte de marché ouvert où l'Union européenne limite à 150 milligrammes par kilo l'usage des nitrites, où France fixe la limite à 100 milligrammes en ayant pour objectif de la réduire à 90 milligrammes, l'adoption de ces amendements reviendrait à restreindre les conditions de production en France, en créant une distorsion de concurrence qui va mécaniquement favoriser les importations.