Ce principe a guidé, je crois, l'écrasante majorité des membres de notre commission. C'est pourquoi je me fais l'écho de la position ferme qu'elle a adoptée : si elle n'est pas hostile au repas végétarien ou au fait que certaines collectivités en fassent l'essai, elle est en revanche hostile à ce qu'il devienne une obligation généralisée, car une telle contrainte entraverait la liberté des collectivités locales.