Les consommateurs sont donc obligés de se rabattre sur des produits hors du bouclier, qui sont beaucoup plus chers. Le second problème, c'est que la grande distribution dans les outre-mer a tendance à adopter un prix facial de 348 euros pour la totalité du bouclier, mais à l'obtenir en baissant les prix de produits faiblement consommés et en augmentant au contraire ceux des produits très fortement consommés. Cela lui permet d'affirmer qu'elle a fait le boulot en ne dépassant pas le montant global de 348 euros, mais les variations de prix d'un produit à l'autre ne sont guère favorables aux consommateurs qui achètent massivement les produits visés.