Tout le monde serait dans une situation plus favorable : l'offre serait plus large et les chauffeurs de taxi auraient été davantage protégés.
Le fait que l'on n'arrive pas encore à l'échelle européenne à considérer les collaborateurs de ces plateformes comme des salariés – ce que je souhaite – a créé une situation d'exploitation extrême qui n'est pas conforme à l'esprit français du droit.