C'était une évidence : à l'époque, personne ne trouvait un taxi à Paris. Le manque de plaques était avéré. Les chiffres que vous venez de rappeler l'indiquaient mais c'était aussi perçu par tous.
Une plaque valait très cher. Je pense d'ailleurs qu'elle vaut aujourd'hui pratiquement le même prix qu'à l'époque – peut-être 30 ou 40 % de moins.