Non. Uber nous avait demandé de les accompagner.
Ma conviction personnelle est la suivante : je ne suis pas le porte-parole de mes clients mais je peux les accompagner et les conseiller. Nous avons besoin de mieux entendre les débats pour mieux appréhender les enjeux. Nous avons donc assisté et contribué à de nombreuses consultations des parties prenantes, sous différentes formes. En tant que cabinet d'avocats, nous avons l'habitude de travailler le fond des dossiers, ce qui nous a permis de préciser le cheminement des différentes discussions, comme avec tous nos clients.