Je vois très bien ce que vous voulez dire : on commence par demander des petites choses, puis toujours un peu plus.
Existe-t-il un continuum entre l'influence et l'ingérence, ou bien peut-on clairement distinguer l'une et l'autre ?
Par ailleurs, vous avez parlé de technique mais aussi de facteurs humains, de failles humaines – c'est un peu pareil en matière de cybersécurité. Les failles peuvent être de plusieurs ordres : certains ont besoin d'argent, de reconnaissance, d'amour, voire de plaisir. La technique du kompromat, dont on parlait beaucoup à l'époque de la guerre froide, est-elle encore utilisée ?