Comme je l'ai déjà dit, je ne jugerai pas la façon dont la question a été traitée par mes collègues. À la lecture du CRP, je constate que la surveillante n'identifie ni l'auteur de la phrase rapportée ni la victime potentielle – élément tout de même important pour juger de la façon dont il convient de traiter l'information qui est remontée.
Quant au fait qu'Elong Abé aurait eu, d'un coup, un comportement différent, notamment la volonté de vider sa cellule, je laisse la parole au DLRP.