Les problèmes de l'hôpital et de la santé publique viennent très largement de cette décision.
Troisièmement, monsieur le ministre, vous vous êtes exclamé avec véhémence : « Tenez les comptes publics ! » lors de la discussion des amendements précédents. Il est vrai que ce n'est pas le rôle dans lequel je vous préfère ; j'aime mieux quand vous travaillez à trouver un compromis. Cependant, vous avez prononcé à peu près la même phrase avant que nous votions l'amendement sur le RSA samedi soir ; ensuite, il a bien fallu ouvrir un peu la bourse, ce qui n'était pas prévu. Sur la question de la compensation des hôpitaux, je pense que nous pouvons arriver à la même conclusion.