Comme je n'accepte pas que nos concitoyens subissent l'avidité d'investisseurs malhonnêtes et en payent le prix de leur santé, je n'accepte pas de voir nos hôpitaux pris en étau entre la nécessité de maintenir l'accès aux soins à tout prix et une surenchère tarifaire indécente.
Je l'ai réaffirmé hier à Alençon, dans l'Orne : avec fermeté et réalisme, en accompagnant les acteurs de bonne volonté et en soutenant les établissements, nous mènerons et nous réussirons toutes les réformes nécessaires pour refonder notre système de santé sur les bases saines de l'esprit d'équipe, de la coopération, de la juste utilisation et de la bonne gestion de l'argent public – qui est l'argent des Français. C'est seulement ainsi que nous préserverons et projetterons dans l'avenir notre service public de santé, qui est notre bien commun.