Lors de l'audition du spationaute Thomas Pesquet par la commission des affaires étrangères, nous avons été séduits par sa volonté de faire pétiller les yeux des scolaires et des étudiants sur les métiers de demain. Des métiers, disait-il, qui n'existent pas encore et dont même le nom n'est pas défini. Comment nous, parlementaires de tous les territoires français, pourrions-nous être les ambassadeurs des nouveaux métiers de demain, en lien avec le domaine spatial, donc contribuer à construire ce rêve pour unifier l'Europe ?