Je voudrais d'abord répondre à deux observations. Monsieur Tanguy, vous vous emportez sur les titres indexés sur l'inflation, qui seraient la proie des « pires charognards de Wall Street » pour reprendre votre expression. Les 10 % de titres de dette de l'État indexés sur l'inflation répondent à une demande très précise des assureurs et des gestionnaires de l'assurance vie, du livret A et du livret d'épargne populaire, qui ne sont pas précisément les « pires charognards de Wall Street ».