Vous expliquez que l'Arpe laisse un pouvoir tel à Uber qu'il dispose presque d'un droit de veto. Par ailleurs, d'autres représentants nous ont indiqué que l'Arpe ne peut imposer un cadre contraignant aux plateformes, son président pouvant uniquement émettre des propositions. Les organisations de livreurs ont en outre dénoncé le caractère non représentatif des organisations élues au sein de l'Arpe.
Considérez-vous problématique, en termes de légitimité, que M. Bruno Mettling soit à la tête de l'Arpe ? Il a en effet pu travailler pour le cabinet Topics, qui a été rémunéré par Uber. Il est en outre considéré comme une personne favorable à Uber au vu du rôle qu'il a joué pour cette entreprise lors de la mission Frouin.