Ces éléments s'inscrivent dans la continuité de ce que nous observons depuis 2015 : le Gouvernement continue de protéger Uber. En effet, rien ne change bien que nous ayons présenté des preuves qu'Uber ne respectait pas les lois. Même lorsqu'Uber perd au tribunal, un ministre ou une députée vient sauver la plateforme, comme c'est le cas depuis 2015 en France.