Au moment de la création de l'Arpe, nous avons été invités à discuter. Nous avons alors remarqué que le directeur de l'Arpe touchait 200 000 euros de salaire annuel et que le budget de l'Arpe s'élevait à 1,3 ou 1,8 million d'euros annuels. Nous avons ensuite découvert que le président de l'Arpe avait travaillé pour la plateforme Uber.
De plus, l'Arpe avait vocation à discuter de tous les sujets pendant un an et, ensuite, le directeur devait proposer des solutions à tous. Concrètement, l'arrêté ne mentionne pas que l'Arpe dispose d'un pouvoir réel. En revanche, j'accepterais de m'y joindre si j'avais l'assurance qu'à travers cette structure, nous pourrions forcer les plateformes à instaurer un tarif plancher et un traitement de l'aspect disciplinaire hors des plateformes. À nouveau, il s'agit d'un leurre et de nombreuses associations, que je juge illégitimes, se sont lancées dans cette dynamique. On aboutit à une solution absurde puisqu'elles ont réussi à négocier un tarif minimum inférieur au tarif minimum actuel.