Nous sommes parvenus à nous procurer des examens, à filmer la réunion dans le restaurant qui regroupait des parlementaires, députés et sénateurs, et à nous adresser au candidat Macron lors d'une émission télévisée. Lorsqu'Elisabeth Borne est arrivée au ministère des Transports, elle a commencé par nous mettre dehors. Plutôt que de continuer le combat au sein de l'observatoire national et des commissions locales taxis-VTC, elle nous a mis à la porte.