Vous étiez aux responsabilités lorsqu'a été décidée la construction d'un nouvel EPR, et Président de la République pendant une période clé. Rappelons quelques chiffres : en 2006, l'EPR est estimé à un coût de 3 milliards, pour une mise en service en 2012 ; en 2010, il l'est pour un coût de 5 milliards, avec une mise en service en 2014 : en 2012, à la fin de votre mandat, il l'est à 8,5 milliards pour une mise en service en 2017.
J'imagine que vous avez suivi ce dossier de près puisque, comme vous l'avez dit, le nucléaire est une affaire de Président de la République. Quelles explications avez-vous ? Comment traduisez-vous industriellement et politiquement la question de l'EPR ?