Puisque nous n'avons pas le droit de nous interpeller entre nous, monsieur le président, c'est à vous que je le dis : je trouve savoureux d'entendre M. Maillard défendre le travail dominical pour tous, sauf pour nous, puisque nous avons souhaité en vain siéger le samedi et le dimanche lors de l'examen du projet de loi visant à réformer les retraites !