Je vais exposer un nouvel argument pour tenter de convaincre mes collègues de la majorité. Lorsque le Président de la République s'est exprimé hier à treize heures sur TF1, il a indiqué qu'il n'était pas opposé à l'idée de mettre à contribution les très grandes entreprises ayant amassé des profits hors norme pendant la pandémie ou pendant l'inflation qui a suivi. Il a dit qu'il ne souhaitait pas instaurer de taxe sur les superprofits – pour des raisons qui m'échappent –, mais qu'il réfléchissait à d'autres mécanismes. Eh bien, voilà ! Nous vous en proposons un !