Ils sont satisfaits en pratique. C'est bien l'intention de Paris 2024 de nommer des référents handicap ; toutefois, ces derniers auraient davantage vocation à intervenir sur les sites de compétition, où ils seront les plus utiles, que dans la polyclinique. Comme je l'ai expliqué tout à l'heure, en raison de la spécialité des professionnels qui y exerceront, il y aura déjà dans la polyclinique une sensibilisation importante aux problématiques liées au handicap, puisque nombre d'entre eux côtoient quotidiennement des personnes handicapées. Madame la ministre a rappelé qu'un module de formation sera créé.
Si je partage l'intention qui a motivé ces amendements, je pense que c'est moins auprès des volontaires de la polyclinique qu'à l'échelle plus vaste du village olympique et des sites de compétition qu'il faudra prévoir ces référents handicap. De plus, contrairement à ce que prévoient les amendements, les missions des référents handicap n'ont pas vocation à faire l'objet d'un décret. En tout cas, c'est une très bonne nouvelle. Demande de retrait ; à défaut, avis défavorable.