Madame la ministre, vous nous avez dit : nous construisons pour le siècle qui vient. Mais justement, comment s'annonce ce siècle qui vient ? La guerre est à nos portes et les risques autour de la centrale de Zaporijjia ont fait trembler le monde entier. Or les tensions internationales risquent de s'aggraver du fait de la raréfaction des ressources et de l'augmentation du nombre de réfugiés climatiques. Et nous, nous nous lançons dans la construction de nouveaux réacteurs, avec tout ce que cela implique comme risques pour la population.