et l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques – Opecst – sur l'éventuelle restructuration de l'ASN et de l'IRSN.
Avec ce texte, nous ne pourrons plus faire fi des enjeux climatiques ni de ceux relatifs à l'indépendance énergétique auxquels nous sommes confrontés, ni de la nécessité de reconstruire notre souveraineté énergétique.
Je sais les désaccords qui nous ont opposés, notamment avec les écologistes dont l'histoire politique s'est construite sur la lutte antinucléaire. Je les respecte. Néanmoins, le débat de fond appelle de l'exigence et ne saurait faire l'objet d'approximations. Je condamne celles et ceux qui n'ont pas hésité à convoquer les peurs, les chemins de la déraison, la négation des choix scientifiques pour déconsidérer la filière et les territoires.