Face à la nécessaire décarbonation, vous répondez : construction de nouveaux EPR – réacteurs pressurisés européens – et SMR – petits réacteurs modulaires. Face à la sécheresse vous répondez : mégabassines. Ce techno-optimisme est un danger. Il ne vise qu'à sauver celles et ceux qui, depuis des décennies, ont abîmé notre avenir.
La bifurcation que nous défendons prévoit une transformation systémique et radicale qui s'appuie sur les préconisations du Giec : il faut donner la priorité à la justice climatique et sociale, promouvoir des processus de transition justes, des mesures d'atténuation ambitieuses et un modèle soutenable.