La profession fait face à d'immenses difficultés au quotidien dans une société en voie d'archipellisation, au sein de laquelle l'autorité est trop souvent remise en question.
Votre ministère a indiqué que des surveillants supplémentaires avaient été convoqués et qu'il n'était pas exclu que l'on recoure aux préfets en cas de difficulté pour accéder à des centres d'examen. Quelle est situation aujourd'hui ? Combien d'élèves ont-ils été empêchés de passer les épreuves et comment pourront-ils le faire ? Quelle vigilance particulière sera-t-elle apportée dans la phase de correction ?