C'est notre responsabilité de lui demander de partir avec sa réforme sous le bras. Ne pas le faire, c'est d'abord accepter que cette mauvaise réforme demeure à l'ordre du jour. Ces deux ans de plus, voulez-vous les imposer ? Ne pas le faire, c'est aussi approfondir la crise démocratique et la crise institutionnelle, la crise de la République. Mesurez la fracture, mesurez la blessure, mesurez les effets. C'est la confiance dans la République et dans la démocratie qui est fragilisée.
Si les institutions de la V