dans l'espoir de vous faire, tant bien que mal, entendre raison.
Permettez-moi, durant quelques instants, de faire retentir ici ces voix que vous avez résolu d'ignorer et qui chantent « liberté, égalité, retraite quand vous serez décédé », « la précarité n'est pas un métier », ou réclament « les profits des milliardaires pour les vieux jours de nos grand-mères ».