Nous devons, collectivement, aller au-delà du ressentiment que la réforme provoque, au-delà de l'amertume qu'elle suscite du fait des efforts demandés. Il nous faudra ouvrir des chantiers vitaux pour l'avenir de notre pays, dans l'intérêt des Français. Je pense évidemment au travail, parce que la réforme des retraites pose fondamentalement la question du rapport au travail dans notre société, du sens de ce dernier et de la rémunération qui en découle.